Une partouze aux heures de pointes.

Dans le métro parisien, il est dix-sept heure. C'est l'heure de pointe. Les gens sont pressés, ils s'agglutinent dans le wagon, ils sont serrés. Debout autour d'un poteau, deux amoureux sont collés l'un contre l'autre. N'étant nullement gênés, ils s'embrassent d'un vrai baiser avec la langue. Trop de monde, on ne voit pas le reste de leur corps. Mais voyant la femme se dandiner, on devine ou est l'autre main de l'homme. Juste derrière eux, le bras pendu pour se tenir, un grand homme a vue sur le décolleté d'une petite blonde. Sa poitrine est collée à lui. elle est un peu gêné, mais ne peut aller nulle part ailleurs. Elle sent le désir monter en lui. Son souffle lui descend sur le visage. Une jeune japonaise fait connaissance avec un jeune français. Soudain la lumière se coupe pendant deux minutes. Les gens sont inquiets mais restent calme. Lorsque la lumière se rétablie, la main du grand homme palpe les seins de la petite blonde. Ils se roulent un patin. Le jeune amoureux a réussi à glisser son pénis entre les cuisses de sa douce. La japonaise et le français s'embrassent et se caressent. Ne pouvant décrire toutes les scènes, imaginez-vous bien qu'une heure de plus dans le noir et ce serait les plus belles partouzes par ici.